Le parquet de Paris a demandé sans surprise un non-lieu dans l'enquête sur l'empoisonnement des Antilles au chlordécone, pesticide autorisé dans les bananeraies jusqu'en 1993, estimant notamment que les faits dénoncés en 2006 par des associations martiniquaises et guadeloupéennes étaient prescrits. Huit mois après l'annonce par les juges d'instruction parisiens du pôle de santé publique de la fin des investigations dans cette affaire, le ministère public a estimé qu'il n'y avait lieu de poursuivre quiconque dans cette affaire, a appris de source proche du dossier, une information confirmée par le parquet de Paris...
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