Au moins 2,2 milliards d'euros : la facture des émeutes survenues en Nouvelle-Calédonie, archipel français du Pacifique sud, à la suite d'une réforme électorale rejetée par les indépendantistes, continue à grimper, et avec elle les critiques sur la contribution de l'Etat français, jugée bien trop faible. L'archipel est en proie à de violents troubles depuis le 13 mai, nées de la contestation d'un projet de loi modifiant les critères électoraux pour les élections provinciales calédoniennes, ce qui aurait eu pour conséquences, selon ses opposants, de marginaliser le poids du peuple autochtone kanak...
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