Dans le quartier résidentiel des Hauts-Vallons à Mamoudzou, prisé des fonctionnaires de Mayotte, des tas de gravats sont toujours entassés ici ou là. Un an après le passage du cyclone Chido, qui a dévasté l'archipel de l'océan Indien, "rien n'a été fait", se désole un habitant. Assis sur une chaise de camping, devant l'immeuble construit il y a seulement cinq ans par la société immobilière de Mayotte, Anli regarde les passants. À côté de lui, s'amoncellent des morceaux de placo, de bois et de barres métalliques...
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