Après des semaines de discussions, les élus du Congrès calédonien sont toujours divisés sur le "pacte Nickel" censé sauver ce secteur en crise. Malgré l'urgence de la situation, ses opposants dénoncent des exigences financières trop importantes pour la Nouvelle-Calédonie, et la signature du texte s'éloigne. Ce devait être une formalité, ou presque. Le président du gouvernement, l'indépendantiste Louis Mapou, souhaitait être habilité par les élus du Congrès - l'assemblée délibérante - à signer le "pacte nickel" que le ministre de l'Economie Bruno Le Maire voulait voir conclu avant fin mars...
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