Plusieurs centaines de salariés et de sous-traitants de la Société Le Nickel (SLN) et du groupe minier brésilien Vale se sont rassemblés jeudi à Nouméa pour dénoncer les blocages et les sabotages, qui mettent en péril leurs emplois. "C'est un cri du coeur pour qu'on puisse recommencer à travailler en paix. L'ensemble des salariés craint de voir l'entreprise disparaitre", a déclaré Anne-Marie Harbulot-Blandel, juriste à la SLN et porte-parole du collectif à l'inititiative de la mobilisation...
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