En se garant sur le parking au bout de la commune d'Awala Yalimapo, inutile d'aller bien loin pour voir l'océan. L'eau n'est qu'à une dizaine de mètres et cette proximité des vagues inquiète le village amérindien tout proche. Auparavant "l'eau était beaucoup plus loin", se souvient Delano Mariwagoe, quadragénaire rencontré près de la plage des Hattes, étroite bande de sable à l'embouchure du fleuve Maroni, la seule de l'ouest guyanais. "Maintenant, elle arrive sur le parking lors des grandes marées", poursuit-il en montrant du doigt cette eau particulièrement trouble...
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