Après avoir fouillé au fond d'un sac plastique, Omar Osman Adan, arrivé de Somalie à Mayotte en février, brandit le précieux sésame : un "récépissé constatant la reconnaissance d'une protection internationale" qui lui permet de rallier l'Hexagone. Mais le problème reste entier pour d'autres réfugiés comme lui : comment financer le voyage ? "J'ai de quoi payer un billet d'avion" mais "comment faire pour aller en métropole ?", questionne en anglais le jeune homme qui ne parle pas un mot de français...
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