La "fierté" qu'un "petit pays" et Etat insulaire ait occupé pour la première fois la présidence tournante de l'Union africaine, est ce que retient le président des Comores de l'année écoulée à ce poste dont il a passé le flambeau. "On nous a fait confiance, on n'avait pas intérêt à décevoir", reconnaît dans un entretien Azali Assoumani, dont l'élection en janvier 2023 avait suscité des doutes sur les capacités d'un "petit Etat" à assumer de telles responsabilités...
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