Le Front de libération kanak socialiste (FLNKS) et la majorité de ses composantes ne se rendront pas aux réunions sur l'avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie, organisées à Paris les 27 et 28 octobre par l'État, tandis que le Parti de libération kanak (Palika) réserve sa décision. Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin doit d'abord recevoir les indépendantistes d'un côté et les loyalistes de l'autre, lors de deux réunions bilatérales. Le lendemain à Matignon, la Première ministre Elisabeth Borne doit réunir pour la première fois la "Convention des partenaires", nouveau format de discussion qui prend la suite du "Comité des signataires"...
0 COMMENTAIRE(S)