Un imposant coco de mer de 10 kilos coincé entre les pieds, Christophe Bristol assène de violents coups de maillet sur un ciseau à bois pour extraire la précieuse pulpe de cet icône seychelloise, dont la forme suggestive et les prétendues vertus aphrodisiaques font la renommée mondiale. "La pulpe est revendue très cher en Chine, donc chaque morceau compte", explique l'expérimenté découpeur de la plus grande graine du règne végétal, dont les contours de bassin féminin ont donné son nom le plus usuel à ce symbole national qui se trouve même sur les armoiries du pays: le "coco fesse"...
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