Face à l'éventualité croissante d'une victoire du oui au référendum sur l'indépendance en Nouvelle-Calédonie, territoire français du Pacifique Sud, le gouvernement français n'exclut pas un "accord d'association", selon un document qui détaille les conséquences du oui et du non. Ce document de 46 pages, a été transmis mi-mai à dix dirigeants de Nouvelle-Calédonie dans la perspective des discussions sur l'avenir politique de l'archipel qui vont se tenir à Paris du 26 mai au 3 juin. L'Etat y indique qu'en cas d'accession à la pleine souveraineté, la Nouvelle-Calédonie perdra le bénéfice "de l'ensemble des traités internationaux conclus par la France"...
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