A quatre jours du deuxième référendum en Nouvelle-Calédonie dimanche, les chefs d'entreprises s'inquiètent d'un éventuel oui à l'indépendance. Mais dans l'immédiat ce sont surtout les conséquences économiques du Covid-19 qui se font ressentir. "Si le non passe, la première semaine on aura quelques remous, mais ensuite ça ne changera pas grand chose", veut croire Yann Lucien, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME). Si le oui l'emporte, c'est plus incertain...
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