"Pour moi, on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs", glisse sans sourciller El Hadj Youssouf, un Mahorais de 33 ans, assis à l'ombre d'un arbre sur une place de Mamoudzou, la principale ville de Mayotte. Sous un soleil de plomb, il se réjouit du réel départ de l'opération sécuritaire contestée "Wuambushu", marqué par le début lundi des démolitions du bidonville de Talus 2, dans le quartier de Majicavo, sur la commune de Koungou...
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